09.12.2019 - Modifié le 09.12.2019
Y a que les volailles qui m’aillent !
Deuxième volet de notre zoom sur les repas de fêtes : les volailles. Que valent les stars de nos tables de réveillon.
Ah la dinde…
C’est une savoureuse volaille blanche, ce qui signifie une viande « maigre », pauvre en graisses qui font grossir et encrassent le cœur. Avec les chocolats, gâteaux et autres charcuteries dont on se gave pendant les fêtes, c’est plutôt pas mal. D’autant que la dinde est également riche en minéraux et oligo-éléments, notamment en fer et en sélénium, qui protègent l’organisme.
Force reste l’oie
Bien sur, elle est plus grasse que la dinde. Mais c’est du « bon gras » : des « acides gras mono-insaturés », plus précisément, les mêmes que l’on trouve dans l’huile d’olive et qui protègent des maladies cardiovasculaires. La preuve : ces maladies touchent moins le Sud-ouest de la France, où l’on met plus volontiers de la graisse d’oie que du beurre dans la poêle.
Calories poids plume
Pour bénéficier de tous les bienfaits des volailles, mieux vaut retirer la peau, plus grasse. Et les accompagner de légumes plutôt que de pommes dauphines !
Christophe Fernandez, avec l’aide du Dr Olivier Coudron – Paru dans Okapi le 01/01/2010
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